Statistiques de l’offre en e-commerce en Belgique:
Derniers chiffres disponibles sur les ventes en ligne en Belgique
Depuis 2016, RETIS, cabinet spécialisé en e-commerce, publie une analyse statistique annuelle de l’état de l’offre en e-commerce.
Cette étude porte sur le niveau de dynamisme du secteur, sur la valeur ajoutée, sur l’emploi généré par l’e-commerce, ainsi que sur la localisation des e-commerçants.
Sommaire du dossier RETIS « Analyse statistique du secteur de l’e-commerce BtoC belge »:
Dossier RETIS « Analyse statistique de l’offre e-commerce en Belgique
Accès direct aux 3 parties du dossier:
- 1e partie: Localisation des e-commerçants belges
- 2e partie: Etat du dynamisme du secteur de l’e-commerce belge
- 3e partie: Nombre d’emplois dans le secteur de l’e-commerce belge
Les e-shops belges
En Belgique, il n’existe pour l’instant pas de répertoires fiables des e-commerçants. Ceux-ci sont estimés à un ordre de grandeur de 40000 fin 2011.
Dans sa dernière étude publiée, RETIS a dénombré 10916 entreprises belges spécialisées dans le commerce de détail en ligne BtoC comme pure-players.
Quelques exemples d’e-commerçants
Quelques e-commerçants ont été analysés et une très petite minorité a rejoint une des 3 fédérations professionnelles qui se positionnent (totalement ou partiellement) dans ce créneau: COMEOS, BECOMMERCE et SAFESHOPS.
Recueil des dernières statistiques disponibles sur l’e-commerce en Belgique:
Statistiques e-commerce en Belgique
Les 2 périodes de confinement s’observent bien entendu clairement dans les 3 graphiques, de même que les pics réguliers au 4e trimestre (période des cadeaux et extras de fin d’année)
Malgré la situation économique guère brillante au Royaume Uni, l’e-commerce constitue maintenant presque 30% du « retail », soit nettement plus qu’aux Etats-Unis, en grande partie parce que les achats récurrents s’effectuent beaucoup plus en ligne (alimentation, boissons, petit équipement, « utilities »,…).
Les statistiques pour la Belgique ne sont pas comparables, car seul le chiffre d’affaires des entreprises vendant essentiellement des produits en ligne est isolable (il faudrait probablement multiplier par 2 pour obtenir le total de l’e-commerce). Par contre l’évolution de ces données montrent que le consommateur belge n’a guère continué à acheter en ligne auprès d’e-commerçants nationaux après la crise COVID.